Quelle journée éreintante j’ai passée ! Enfin, de retour à la maison. Zut, où ai-je laissé mes clés ? Attends une minute, mais qu’est-ce qui se passe à l’intérieur ?
Le robinet est resté ouvert toute la journée... Oh, mais qu’est-ce qui se passe avec ma tête
Les oublis fréquents nous amènent à nous demander s’il s’agit d’une mauvaise organisation du temps, d’une difficulté à se concentrer ou s’il y a un problème de mémoire neurologique plus grave.
Les trous de mémoire, de plus en plus fréquents, peuvent être attribués à plusieurs facteurs. Tout d’abord, l’utilisation excessive de l’ordinateur et les notifications incessantes des applications mobiles contribuent à la surcharge cognitive, ce qui peut compromettre la capacité de mémorisation.
Les prothèses numériques, désormais omniprésentes, font partie intégrante de notre quotidien moderne et peuvent influencer notre façon de penser et de mémoriser les informations.
De plus, une nutrition mal gérée peut entraîner une carence en éléments nutritifs, notamment une insuffisance d’oméga 3, essentiels à la santé du cerveau humain et affecter la mémoire et les fonctions cognitives.
Parmi les multiples facteurs qui perturbent notre gestion du temps et nos engagements, il est important d’explorer la possibilité que les plaintes mnésiques sincères soient liées à des antécédents génétiques ou épigénétiques, en particulier s’il y a eu des événements adverses ou traumas physiques ou psychiques.
Cela soulève aussi la question de savoir si ces oublis récurrents pourraient être le premier signe de la maladie d’Alzheimer ou d’une autre forme de démence, ou s’ils reflètent simplement les défis de la vie moderne en matière de gestion de l’information et du stress.
Pour se faire une tête sur la question et en avoir le cœur net, demandez un bilan neuropsychologique personnalisé, en nous contactant au
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